Quelques pensées ou traits d’esprit personnels qui ont façonné ce que je suis aujourd’hui.
Les femmes
- Belle exception de la langue française, le mot Femme se distingue par un E comme éternel que l’on prononce A comme amour.
- Certaines femmes, d’un seul regard, imposent la galanterie.
- Je vous ai vue, puis je vous ai regardée, alors je vous ai appréciée pour finalement vous admirer.
- Toutes les chansons d’amour auraient pu être écrites pour toi.
- Ce soir, la maîtresse de maison fait plus maîtresse que maison.
- Vous êtes ce que j’ai vu de plus beau depuis que j’ai ouvert les yeux ce matin.
- Votre allure, votre silhouette, votre démarche, on vous suivrait jusqu’au bout du monde.
- Au printemps, les rires de filles sonnent comme des chants d’oiseaux.
- Je me rappelais de vous comme d’une belle femme mais mon souvenir était encore bien en dessous de la réalité.
- Lorsque vous apparaissez dans une soirée, ce n’est pas une arrivée, c’est une entrée en scène.
- Votre seule présence dans ce magasin réconcilie tous les hommes avec le shopping.
- Je ne sais pas si le printemps rend belles toutes les femmes mais sur vous ça marche.
- Vous êtes irrésistible avec désinvolture. Quelle classe !
- Pour moi, vous avez été la belle inconnue de ce voyage.
- Tu n’as peut-être pas toutes les beautés que tu aimerais avoir, mais tu as la grâce, la plus grande des beautés.
- Il y a en vous un mélange de pulpeux, de douceur et de finesse qui déclenche la gourmandise.
Vivre ensemble
- Chacun de nous, semblable à tous, à nul autre pareil.
- On naît dans un pays, on vit sur terre.
- Le bonheur, ça se cultive. Le malheur, ça se laisse pousser.
- Il faut de tout pour faire un monde, il suffit d’un rien pour le défaire.
- Ce n’est pas parce qu’on développe l’intelligence artificielle qu’il faut laisser libre cours à la bêtise humaine.
- Nous ne vivons plus au présent, nous vivons à l’omniprésent.
- Dans l’omniprésent, l’avenir est trop proche pour qu’on ait le temps de le rêver.
- Plus on va laisser de gens sur le bord de la route, plus ce sera difficile de rouler.
- Tu es acteur de ta vie ou figurant dans la vie des autres ?
- Il y a une grande différence entre rester jeune et ne pas grandir.
- Tous les vieux ont été jeunes, tous les jeunes ne seront pas vieux.
- Dans la vie, il y a les bons vivants, les vivants, les survivants, et les morts vivants.
- La vie mérite amplement que l’on meurt pour elle.
Perceptions
- Etre premier, plus qu’un classement, un état d’esprit.
- Un chef doit être très bon dans certains domaines et excellent dans tous les autres.
- Devant le « jamais-vu », il faut être comme on n’a jamais été.
- L’action distingue deux styles de caractère : celui qui aime faire les choses et celui qui aime que les choses soient faites.
- La beauté magnifique d’un homme est dans l’action efficace.
- La chance dépend souvent de la force d’une intention.
- Les problèmes vont plus facilement à la rencontre de ceux qui les cherchent.
- Souvent, on hésite entre prendre son courage à deux mains ou le remettre à demain.
- Les mots, les promesses, on les croit, les actes, les progrès, on les voit.
- Il y a une façon intelligente d’agencer les choses pour qu’elles ne soient pas un problème dormant que le moindre imprévu réveillera.
- Parfois, la posture laisse transparaître l’imposture.
- Quand on est jeune, on se tient droit pour bomber le torse, quand on est vieux, c’est pour rentrer le ventre.
- On est en devenir jusqu’à ce redoutable point de bascule où l’on réalise qu’on sera uniquement ce qu’on a été.
- La classe, c’est l’élégance qui n’a pas besoin de la mode.
- Au fil des ans, l’élégance devient un moyen de combattre l’indécence de la vieillesse.
- La vie est suffisamment incroyable pour glisser parfois des lignes perpendiculaires dans ses mondes parallèles.
- Dommage d’être intelligent et d’avoir une vie de con.
- Révéler le meilleur demande de se confronter au pire.
- On peut être optimiste par désespoir.
- A défaut d’être remarquable, on peut essayer de se faire remarquer.
- Photographier une personne dans un beau moment d’elle-même tient de l’art ou du hasard. Instant voulu ou instant volé. Élaboration talentueuse ou bienveillance dévoilant ce qui brille dans chaque être.
- Dans tout désir de succès, il y a un appétit de revanche. Si la nature vous a donné le goût précieux de l’essentiel, le succès importe peu, le bonheur suffit.
- Vivre dans la facilité apporte beaucoup de complications.
- Il y a deux façons d’être malade, se répéter qu’on perd sa santé ou se persuader qu’on va guérir.
- Finalement l’intérêt de l’argent, c’est la garantie de pouvoir vivre jusqu’à sa mort.
- Ce n’est pas parce qu’on dit “un imbécile heureux” que tous ceux qui font la gueule sont intelligents.
- Tous les grands projets commencent par une nuit blanche.
- Ecrire, c’est parler à travers le temps et l’espace.
- Un bon bouquin, c’est un livre qu’on peut lire sur un chantier sans entendre les travaux.
- Le génie créateur nous isole en tête à tête avec l’émotion artistique. Il ne laisse aucune prise au manquement ou à l’incertitude, il ouvre grand nos yeux sur la beauté, permet la contemplation, puis les referme sur le mystère.
- A quoi te sert de rêver la mer, de rêver les chevaux, si tu ne vogues ni ne galopes en les rêvant.
- De temps à autre, la réalité a plus d’imagination que le rêve.
- À la campagne, la poussière vole, à la ville, la poussière colle.
- Le bonheur n’a besoin de personne.
- Se sentir libre comme une jeune femme dans une robe à fleurs un jour de soleil.
- Il y a deux sortes de gens pressés, ceux qui font beaucoup de choses et ceux qui sont toujours en retard.
- Mourir d’amour oui, encore faut-il trouver quelqu’un qui en vaille la peine.
- Etre pionnier, n’est-ce pas partir au galop sur un chemin de traverse en lançant « Qui m’aime me suive ! ».
- Le pouvoir du luxe, c’est de déguiser en diva incomprise une grosse pouffiasse qui claque 3 000 € par jour en traînant sa vulgarité comme un état d’âme.
- On croit que tout ce qui est cher est beau mais non, il y a une place pour une “luxe attitude” vulgaire qui consiste à arborer avec fierté quelque chose de très moche et hors de prix.
- Il y a deux drogués, celui qui se perd et celui qui se surpasse. Choisis bien ton camp. C’est un choix de vie.
- Le Prix Nobel de la Paix ne compense pas le prix mortel de la guerre.
- Le silence peut être synonyme de toutes les émotions.
- La plupart des pianistes jouent du piano, d’autres, virtuoses, génies, improvisateurs nés, chantent avec leurs mains.
Intimité
- Certains pensent que le monde leur appartient, moi, je me sens appartenir au monde. Deux voyages différents … dans le même monde.
- Pour contrebalancer ses multiples inconvénients, le métier d’écrivain offre un avantage majeur : la possibilité de travailler au lit.
- Plus qu’un métier, j’ai une aventure à vivre.
- J’ai beau avoir arrêté les drogues, le monde me fait toujours autant halluciner.
- Entre mes rêves et la réalité, une distance élastique variant de quelques microns à plusieurs années lumière.
- Parfois, surpris dans une habitude absurde, je sens le vieux con qui sommeille en moi.
- C’est peut-être la bêtise qui va gagner mais je me battrai jusqu’à ma mort pour faire préférer l’intelligence au monde.
- J’ai commencé à m’interroger sur la dégénérescence du cerveau quand j’ai retrouvé le sel dans le frigo.
- Je n’ai rien à cacher, mais il y a des choses que je n’aime pas montrer.
- Je sais que Dieu n’existe pas mais parfois, il me met le doute.
- Je ne veux pas passer le reste de ma vie à être une promesse non tenue.
- La raison du plus fort commence par soi-même. Qui est le plus fort en moi ? Celui qui veut, qui sait, qui avance et qui bâtit ? Ou celui qui doute, casse, fuit et délaisse ?
- Pour moi, il y a plus de différence entre Hitler et Mozart, deux autrichiens, qu’entre un noir et un blanc.
- Heureusement, j’ai abusé de tout avec modération.
- Pour résumer, on est tous en prison, on veut tous se faire la belle et la belle préfère les prisons dorées.
- A part les femmes et l’argent, rien ne me résiste.
- Et si la maturité, c’était prendre possession de soi ? Endosser son corps comme un costume et guider son esprit comme un cheval.
- Avant les outils du digital, mes deux instruments de travail sont la page blanche et la calculette.
- La sérénité commence quand on signe un pacte avec son propre diable.
- Certains soirs, en allant me coucher, je ne vais pas dormir, je vais m’évanouir.
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